Harto de oir hablar de la "neopeseta"

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El euro andorrano ya no será posible. :´(

 
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La neopeseta no tiene sentido, es verdad. Es una contradicción, no nos salvaría de la crisis sino que la empeoraría.

Europa necesita engordar no adelgazar, por eso vamos introduciendo más países en la euromoneda, no sacándolos. Costará tiempo y penurias equilibrar los diferentes países, pero es la única solución ante el futuro panorama mundial. ¿Cómo competir en el futuro con USA-INDIA-CHINA?

Esto me recuerda al imperio romano, Roma necesitaba tantos soldados, que tenia que incorporar tierras a su imperio a peticion de los barbaros a cambio de que lucharan en sus ejercitos, al final de tanto incorporar barbaros, la explosion fue desde dentro.
Europa podra ir metiendo paises, despues de bulgaria y rumania que meta ucrania, y despues jovenlandia argelia y tunez, luego ya que meta turquia y Rusia...cuantos mas paises creeis que podra meter antes de que estalle?
Grecia ya esta de capa caida, despues siguen pequeñitos como letonia, portugal o irlanda, y leugo ya van los grandes, desde españa a japon pasando por italia y reino unido y alguno mas que pille de camino.
la economia esta de ojo ciego, y eso con tipos en minimos y petroleo barato y sin guerras propiamente dichas. solo falta que corea del norte o pakistan o turquia se metan a saco en conflictos.

al hilo del tema, se la llama neopeseta en defensa del fraude en muchos sentidos del EURO, que ha redondeado los precios, y si un periodico eran 90 ptas, ahora son el doble entre semana y mas en finde, si un cafe eran 100 ptas ahora son 1,30e. El euro ha servido tanto a los ricos como a los que hacen movimientos de dinero entre paises, bancos entre ellos. los ricos, bancos y politicos se han forrado, pero los currelas hemos bajado al abismo con esta moneda, no podemos tener la familia de nuestros padres ni podemos pagar el piso con un sueldo, y mientras el invierno demografico se acerca, en pocos años ya no habra para las pensiones, al menos como estan ahora.
Los jovenes de ahora si son listos se buscaran la vida mas alla de estas fronteras porque hispanistan tiene un neցro futuro.
 
Una lectura brillante desde Le Monde:
Comment va-t-on recréer le franc ? - LeMonde.fr

Gérard Lafay, professeur émérite à l'université Paris-II
17/06/2010
EuroNo.jpg

Contrairement aux espoirs annoncés, l'euro a manifestement échoué.
A l'intérieur de la zone concernée, il n'a engendré qu'une faible croissance économique, une délocalisation des activités industrielles et la persistance du chômage, tout en accentuant les divergences entre les pays membres.

La politique de la Banque centrale européenne a en effet suscité une surévaluation chronique de la monnaie unique européenne, et elle a permis un endettement accentué des nombreux agents économiques, tant publics que privés. Au lieu de jouer un rôle d'entraînement, l'Allemagne a mené une politique salariale inutilement restrictive, accentuant le déficit de certains pays de la zone, au point de les conduire au bord du gouffre.

Sur le plan économique, l'euro ne pourrait être poursuivi qu'en menant un fédéralisme budgétaire, solution préconisée par Messieurs Jean-Claude Trichet et Dominique Strauss-Kahn. Cohérente sur le plan économique, cette solution est inapplicable politiquement dans un régime démocratique. Elle impliquerait le même type de transferts budgétaires que celui qui existe, à l'intérieur de chacune des nations, entre les régions riches et les régions pauvres. Or l'Europe n'est pas une nation, qui a l'habitude d'accepter cette forme naturelle de solidarité. Le pays le plus riche, l'Allemagne, exclut même formellement une telle formule, ayant déjà suffisamment payé pour mettre à niveau les länder de l'ex-RDA.

A plus ou moins brève échéance, l'euro est donc condamné. La question n'est donc pas de savoir s'il faut recréer le franc : une telle issue est inéluctable. La seule question pertinente est de connaître les conditions dans lesquelles ce processus va se dérouler.


Le plus grave serait de subir en catastrophe, sous la pression de la spéculation, une dislocation désordonnée de la zone euro.
Au lieu de pratiquer la politique de l'autruche, en se berçant d'illusions, il faut donc préparer calmement la solution alternative qui va s'imposer impérativement. D'une part, en précisant les conditions de recréation des différentes monnaies nationales, et en particulier du franc français. D'autre part, en mettant en place un nouveau système monétaire européen.

Techniquement, la recréation du franc français, comme celle des autres monnaies de l'actuelle zone euro, est une solution facile, qui prendra au plus quelques mois. On a déjà l'expérience de l'opération inverse, qui a abouti à la création de l'euro, et on connaît l'exemple de diverses zones monétaires qui se sont scindées, que ce soit lors de la division de la Tchécoslovaquie ou lors de l'éclatement des anciennes fédérations soviétique et yougoslave. Il conviendra simplement de dissoudre la Banque centrale européenne, de répartir ses réserves de change au prorata des apports initiaux, et de restituer à la Banque de France l'intégralité de ses attributions.

La seule question posée est de savoir quel taux de conversion devra être adopté.
La première solution, qui satisferait les nostalgiques, serait de prendre l'inverse de ce qui avait été retenu lors du passage à l'euro, c'est-à-dire de revenir au franc ancien qui existait avant 2002, en multipliant tous les chiffres par 6,55957. Cette formule aurait deux inconvénients : d'une part, de favoriser le dérapage inflationniste en troublant les consommateurs, comme ce fut le cas lors de l'opération de 2002 ; d'autre part, de modifier tous les contrats existants.
La seconde solution, qui serait sans doute la meilleure, serait de prendre le taux de conversion le plus simple, c'est-à-dire de décréter qu'un franc nouveau est égal à un euro. :cool:

NOUVEAU SYSTÈME MONÉTAIRE EUROPÉEN

Vis-à-vis des autres monnaies, la valeur d'un franc nouveau sera déterminée par le marché des changes. Elle évoluera en fonction de la politique qui sera menée en France, tant dans l'économie que dans la gestion du change. Il est faux de s'imaginer que notre pays soit fatalement laxiste, car il fut autrefois exemplaire (à l'époque du général de Gaulle jusqu'en 1968, puis de Georges Pompidou). Non seulement la création d'un franc nouveau ne nous dispensera pas des efforts nécessaires pour rétablir la situation budgétaire et pour résoudre le problème des retraites, mais elle facilitera leur solution en permettant de retrouver les moyens de la croissance économique.

La création d'un franc nouveau doit aller de pair avec l'organisation d'un nouveau système monétaire européen, afin de sauvegarder les aspects positifs de l'Europe, tout en tirant les leçons des difficultés qu'avait connues l'ancien SME mis en place en 1979. Il conviendra de ne pas se focaliser sur les taux de change nominaux, mais de ne retenir que les taux de change réels, c'est-à-dire les niveaux relatifs de prix des pays les uns par rapport aux autres. Le maintien d'un taux de change réel exige que le taux de change nominal de la monnaie correspondante puisse varier en fonction des écarts d'inflation, en plus (appréciation) pour un pays peu inflationniste, en moins (dépréciation) pour un pays trop inflationniste.

La mise en place de ce nouveau système monétaire européen implique que l'on mette en priorité la politique de change dans chacune des nations européennes, compte tenu des anticipations des opérateurs. En influant sur le taux de change nominal, et tout en stérilisant ses effets internes, cette politique permet d'obtenir le taux de change réel qui est désiré pour chaque nation. Celui-ci doit être conforme à la solidité de son appareil productif, c'est-à-dire qu'il doit être d'autant plus bas que le pays est plus fragile structurellement afin d'équilibrer sa balance commerciale.

Ainsi, entre les pays européens, il faudra s'accorder sur les niveaux des taux de change réels qui correspondent à leur situation objective, en permettant aux pays en retard de se développer plus vite, mais sans leur donner un avantage excessif de compétitivité. Vis-à-vis du reste du monde, une monnaie commune, telle que l'écu, sera créée comme la moyenne pondérée des monnaies nationales, mais son taux de change réel devra demeurer réaliste, c'est-à-dire que le niveau moyen des prix européens ne devra pas être trop cher.

Mais la politique de change n'est pas toujours efficace si l'on se trouve en présence de partenaires dont la monnaie est visiblement trop bon marché, parce qu'ils achètent des réserves en devises étrangères (cas de la Chine).
Sans pour autant s'engager dans la voie dangereuse du protectionnisme, la solution sera alors d'établir les conditions d'une concurrence loyale dans les échanges commerciaux avec les pays fautifs, par des prélèvements à l'importation et par des restitutions à l'exportation, comme Maurice Lauré l'avait préconisé en 1993.
 
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Germany and France examine 'two-tier' euro - Telegraph
19 de junio de 2010
By Alex Spillius in Washington and Bruno Waterfield in Brussels

The creation of a "super-euro" zone would initially include France, Germany, Holland, Austria, Denmark and Finland.

The likes of Greece, Spain, Italy, Portugal and even Ireland would be left in a larger rump mostly Mediterranean grouping.

The official said French and German officials had first spent months examining how to exclude poor-performing states from the euro but decided it was not antiestéticasible.

A two-tier monetary system in the 16-member euro zone is being examined as a "plan B".



"It's an act of desperation. They are not talking about ideal solutions but the lesser of evils. Helping Greece could be done relatively cheaply but Spain they can't afford to let fail or bail-out.

"And putting more pressure on the people of France and Germany to save other countries is politically unfeasible."

One option, to protect the wealthier northern European countries and to help indebted southern Europeans, would be for Germany to lead a group of countries out of the existing euro into a new single currency alongside the old.

The old euro would decline sharply against the new German and French dominated currency but both north and southern Europeans would be protected.

Northern economies would be protected from debt contagion and southern countries would be spared the horrors of being thrown out and forced to go it alone.

Angela Merkel, the German Chancellor, has already paid a political price for forcing the rescue plan on a reluctant public, losing her majority in the upper house of parliament in a recent election.

The official pointed out that France held lent £500 billion to Spain and the Germans had lent £335 billion.

The crunch time will come in September, when Spain has to refinance £67 billion of its foreign debt.

"If the markets don't buy that will trigger a response by Germany and France," said the official.

Expelling a country from the euro could push the whole region into a slump because European banks are so exposed to debt in southern Europe.

The consequences for the exiting country would be even more catastrophic.
Analysis: Spain could test the euro to its limit - Telegraph
By Bruno Waterfield in Brussels


2/12/2001
Con toa la jeta, hamijos: "Esto destierra cualquier hipótesis de una devaluación". :roto2:
portada.jpg

"Las tasas de los créditos sin tope" ...¿Tenéis tope, hamijos pepitos? :rolleye:
 
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"The crunch time will come in September, when Spain has to refinance £67 billion of its foreign debt."

Será en Septiembre, entonces....
 
Hasta los Aljaziros del planeta lo saben:

4 de Julio de 2010
Germany would lead a group of countries out of the existing Euro into a new single currency.

The old Euro would become the Latin Euro or Southern Euro, whatever name suits them.

The Latin Euro currency after the split would decline sharply against the newly hatched German-centric Euro.

The devaluation would render great economic stimulus to the Southern nations.

Important difficult decisions would have to be made regarding debt writedowns, forgiveness, and restructure.

A perceived driving motive in the plan is to provide Southern nations some security from remaining within a group, so individual distressed nations like Spain or Italy would be spared the stress of being forced to contend with their situations alone.

The bunker mentality will not spare them of continued deep distress.

The consequences for any expelled nation would be catastrophic to bankers holding any sovereign PIGS debt, a problem not mitigated by any bicameral plan.

The only assurance in this chaotic crisis is change coming to the EuroZone, radical change.

In time, my full expectation is for each Southern Europe nation to opt to go it alone, to revert to the old native currency, to devalue it more, and inflate with abandon with spectacular deficits incurred, incite some nationalism, wave flags, and slide badly from prosperity into poverty.

The linchpin is usage of the New Nordic Euro for crude oil sales, a requirement as part of an alliance with OPEC.

The New Nordic Euro will serve as the Dollar Killer
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Argumento Pétain en el Piri: Esto es imposible por que sería muy malo.
18/11/2010



Al final, Irlanda cederá. Nadie de los que saben de esto tiene dudas al respecto. Porque, de lo contrario, el país terminaría fuera del euro. Es decir, en un escenario terrible.

Porque, nada más nacer, la nueva moneda nacional caería a pico.

Tras eso -y entre otras cosas-, los salarios tendrían que bajar más o menos lo mismo.
Se devalúa para no tener que bajar salarios.
Y si tras devaluar abruptamente se atraen generadores de empleo y crece el consumo y las exportaciones baratitas, subirá la inflación y subirán los sueldos en la neomoneda devaluada.


No pagaría las deudas que ahora le acogotan -llevando a la quiebra a algunos de sus acreedores- pero, a cambio, las puertas del crédito internacional se le cerrarían del todo y posiblemente por mucho tiempo. La consecuencia última sería una profunda depresión económica.
Si no se reconquista la soberanía para devaluar, la auténtica depresión económica será más y más paro, y más y más recortes en los servicios públicos a la población, y más y más contracción del consumo.

No parece que los políticos irlandeses estén por esa labor. Sin embargo, se resisten a asumir que, como precio por el salvamento europeo, hayan de renunciar a su soberanía en materia de política económica y fiscal. No quieren terminar como tantas repúblicas latinoamericanas en los 80, con técnicos extranjeros -en este caso del Banco Central Europeo y controlados muy de cerca por Berlín- decidiendo su presupuesto, los gastos del Estado, los impuestos y también los salarios.

Y eso es lo que les espera. Angela Merkel lo ha anunciado por activa y por pasiva.

Los alemanes quieren salvar el euro, pero a costa de imponer una férrea disciplina a los países más débiles.

A la postre, pretenden tapar manu militari los huecos del Tratado de Maastricht, o sea, la falta de coordinación de las políticas económicas o la inexistencia de una política fiscal única europea. El euro, dicen, solo sobrevivirá sobre esas bases.

España no es Irlanda ni Grecia, eso está claro. Entre otras cosas, porque es más grande y bastante más compleja. Pero la guía del futuro que se está escribiendo para Dublín y Atenas también va a servir para nosotros. Lo que nos están dando es la oportunidad de seguirla por nuestra cuenta.

También podemos deseurizarnos como hizo Argentina tras corralito, y aluego devaluación abrupta.
Y todos los containers que vienen de China, shooof.
Y todas las deslocalizadas a Tanger que prentenden vender a Tochonistán, shooof.
Y todos los esquiroles importados revienta-empleos y revienta-salarios, shooof.

El que quiera vender aquí, tendrá que dar empleo aquí.

¿Que el Napo y Angelines quiere hacer de acreedores? Pues a la cola. Primero son los españoles y en casa mandamos nosotros democráticamente y no sus muñecos alternantes, aunque tuvieseis capacidad para activar miles de células turronistas disfrazadas de islamistas.

Si en un concurso de acreedores eres acreedor preferente de alguien que solo tiene una casa, cuando te adjudicas ese patrimonio por la deuda equivalente, todos los acreedores que vienen después en la inscripción registral pierden su capacidad para cobrar.

¿Quienes somos los acreedores preferentes en Hispanistán? ¿Los que currando hemos estado pagando impuestos para recibir servicios? ¿O los que han puesto desregulatas alternantes, cátedros y periolistos a sueldo para saquear bancos con la firma de millones de indigentes para aluego tras la pirámide insostenible generada, se ayuden con dinero del Estado y de los extranjeros y tener la excusa para saquear todo el país via privatizaciones peajes y copagos masivos, sin consultar para nada la soberanía de la mayoría ciudadana?


No Angelines y Napoleón, no sois acreedores preferentes. Vuestro lebensraum se os va a ir a la porra otra vez: entrullamos a vuestro Pétain, y vuestro Pepe Botella tuvo que huir por patas. A mamarla.
 
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(Bloomberg) -- Moorad Choudhry Says Euro Zone Isn't Sustainable

(Washington Post) Choudhry Says Euro Zone Isn't Sustainable
17/11/2010

Moorad Choudhry - Wikipedia, the free encyclopedia

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Leer los güisfulcinquin de los nuncabajistas de 2008 y ver como van muriendo lentamente sucumbidos por la negra realidad me ha puesto los pelos de punta... Nos quedan breves.
 
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