>> 47 <<
Madmaxista
- Desde
- 28 Ago 2006
- Mensajes
- 24.356
- Reputación
- 7.062
El euro andorrano ya no será posible. :´(
Última edición:
Follow along with the video below to see how to install our site as a web app on your home screen.
Nota: This feature may not be available in some browsers.
La neopeseta no tiene sentido, es verdad. Es una contradicción, no nos salvaría de la crisis sino que la empeoraría.
Europa necesita engordar no adelgazar, por eso vamos introduciendo más países en la euromoneda, no sacándolos. Costará tiempo y penurias equilibrar los diferentes países, pero es la única solución ante el futuro panorama mundial. ¿Cómo competir en el futuro con USA-INDIA-CHINA?
Gérard Lafay, professeur émérite à l'université Paris-II
17/06/2010
Contrairement aux espoirs annoncés, l'euro a manifestement échoué.
A l'intérieur de la zone concernée, il n'a engendré qu'une faible croissance économique, une délocalisation des activités industrielles et la persistance du chômage, tout en accentuant les divergences entre les pays membres.
La politique de la Banque centrale européenne a en effet suscité une surévaluation chronique de la monnaie unique européenne, et elle a permis un endettement accentué des nombreux agents économiques, tant publics que privés. Au lieu de jouer un rôle d'entraînement, l'Allemagne a mené une politique salariale inutilement restrictive, accentuant le déficit de certains pays de la zone, au point de les conduire au bord du gouffre.
Sur le plan économique, l'euro ne pourrait être poursuivi qu'en menant un fédéralisme budgétaire, solution préconisée par Messieurs Jean-Claude Trichet et Dominique Strauss-Kahn. Cohérente sur le plan économique, cette solution est inapplicable politiquement dans un régime démocratique. Elle impliquerait le même type de transferts budgétaires que celui qui existe, à l'intérieur de chacune des nations, entre les régions riches et les régions pauvres. Or l'Europe n'est pas une nation, qui a l'habitude d'accepter cette forme naturelle de solidarité. Le pays le plus riche, l'Allemagne, exclut même formellement une telle formule, ayant déjà suffisamment payé pour mettre à niveau les länder de l'ex-RDA.
A plus ou moins brève échéance, l'euro est donc condamné. La question n'est donc pas de savoir s'il faut recréer le franc : une telle issue est inéluctable. La seule question pertinente est de connaître les conditions dans lesquelles ce processus va se dérouler.
Le plus grave serait de subir en catastrophe, sous la pression de la spéculation, une dislocation désordonnée de la zone euro.
Au lieu de pratiquer la politique de l'autruche, en se berçant d'illusions, il faut donc préparer calmement la solution alternative qui va s'imposer impérativement. D'une part, en précisant les conditions de recréation des différentes monnaies nationales, et en particulier du franc français. D'autre part, en mettant en place un nouveau système monétaire européen.
Techniquement, la recréation du franc français, comme celle des autres monnaies de l'actuelle zone euro, est une solution facile, qui prendra au plus quelques mois. On a déjà l'expérience de l'opération inverse, qui a abouti à la création de l'euro, et on connaît l'exemple de diverses zones monétaires qui se sont scindées, que ce soit lors de la division de la Tchécoslovaquie ou lors de l'éclatement des anciennes fédérations soviétique et yougoslave. Il conviendra simplement de dissoudre la Banque centrale européenne, de répartir ses réserves de change au prorata des apports initiaux, et de restituer à la Banque de France l'intégralité de ses attributions.
La seule question posée est de savoir quel taux de conversion devra être adopté.
La première solution, qui satisferait les nostalgiques, serait de prendre l'inverse de ce qui avait été retenu lors du passage à l'euro, c'est-à-dire de revenir au franc ancien qui existait avant 2002, en multipliant tous les chiffres par 6,55957. Cette formule aurait deux inconvénients : d'une part, de favoriser le dérapage inflationniste en troublant les consommateurs, comme ce fut le cas lors de l'opération de 2002 ; d'autre part, de modifier tous les contrats existants.
La seconde solution, qui serait sans doute la meilleure, serait de prendre le taux de conversion le plus simple, c'est-à-dire de décréter qu'un franc nouveau est égal à un euro. :
NOUVEAU SYSTÈME MONÉTAIRE EUROPÉEN
Vis-à-vis des autres monnaies, la valeur d'un franc nouveau sera déterminée par le marché des changes. Elle évoluera en fonction de la politique qui sera menée en France, tant dans l'économie que dans la gestion du change. Il est faux de s'imaginer que notre pays soit fatalement laxiste, car il fut autrefois exemplaire (à l'époque du général de Gaulle jusqu'en 1968, puis de Georges Pompidou). Non seulement la création d'un franc nouveau ne nous dispensera pas des efforts nécessaires pour rétablir la situation budgétaire et pour résoudre le problème des retraites, mais elle facilitera leur solution en permettant de retrouver les moyens de la croissance économique.
La création d'un franc nouveau doit aller de pair avec l'organisation d'un nouveau système monétaire européen, afin de sauvegarder les aspects positifs de l'Europe, tout en tirant les leçons des difficultés qu'avait connues l'ancien SME mis en place en 1979. Il conviendra de ne pas se focaliser sur les taux de change nominaux, mais de ne retenir que les taux de change réels, c'est-à-dire les niveaux relatifs de prix des pays les uns par rapport aux autres. Le maintien d'un taux de change réel exige que le taux de change nominal de la monnaie correspondante puisse varier en fonction des écarts d'inflation, en plus (appréciation) pour un pays peu inflationniste, en moins (dépréciation) pour un pays trop inflationniste.
La mise en place de ce nouveau système monétaire européen implique que l'on mette en priorité la politique de change dans chacune des nations européennes, compte tenu des anticipations des opérateurs. En influant sur le taux de change nominal, et tout en stérilisant ses effets internes, cette politique permet d'obtenir le taux de change réel qui est désiré pour chaque nation. Celui-ci doit être conforme à la solidité de son appareil productif, c'est-à-dire qu'il doit être d'autant plus bas que le pays est plus fragile structurellement afin d'équilibrer sa balance commerciale.
Ainsi, entre les pays européens, il faudra s'accorder sur les niveaux des taux de change réels qui correspondent à leur situation objective, en permettant aux pays en retard de se développer plus vite, mais sans leur donner un avantage excessif de compétitivité. Vis-à-vis du reste du monde, une monnaie commune, telle que l'écu, sera créée comme la moyenne pondérée des monnaies nationales, mais son taux de change réel devra demeurer réaliste, c'est-à-dire que le niveau moyen des prix européens ne devra pas être trop cher.
Mais la politique de change n'est pas toujours efficace si l'on se trouve en présence de partenaires dont la monnaie est visiblement trop bon marché, parce qu'ils achètent des réserves en devises étrangères (cas de la Chine).
Sans pour autant s'engager dans la voie dangereuse du protectionnisme, la solution sera alors d'établir les conditions d'une concurrence loyale dans les échanges commerciaux avec les pays fautifs, par des prélèvements à l'importation et par des restitutions à l'exportation, comme Maurice Lauré l'avait préconisé en 1993.
Una lectura brillante desde Le Monde:
Comment va-t-on recréer le franc ? - LeMonde.fr
The creation of a "super-euro" zone would initially include France, Germany, Holland, Austria, Denmark and Finland.
The likes of Greece, Spain, Italy, Portugal and even Ireland would be left in a larger rump mostly Mediterranean grouping.
The official said French and German officials had first spent months examining how to exclude poor-performing states from the euro but decided it was not antiestéticasible.
A two-tier monetary system in the 16-member euro zone is being examined as a "plan B".
"It's an act of desperation. They are not talking about ideal solutions but the lesser of evils. Helping Greece could be done relatively cheaply but Spain they can't afford to let fail or bail-out.
"And putting more pressure on the people of France and Germany to save other countries is politically unfeasible."
One option, to protect the wealthier northern European countries and to help indebted southern Europeans, would be for Germany to lead a group of countries out of the existing euro into a new single currency alongside the old.
The old euro would decline sharply against the new German and French dominated currency but both north and southern Europeans would be protected.
Northern economies would be protected from debt contagion and southern countries would be spared the horrors of being thrown out and forced to go it alone.
Angela Merkel, the German Chancellor, has already paid a political price for forcing the rescue plan on a reluctant public, losing her majority in the upper house of parliament in a recent election.
The official pointed out that France held lent £500 billion to Spain and the Germans had lent £335 billion.
Analysis: Spain could test the euro to its limit - TelegraphThe crunch time will come in September, when Spain has to refinance £67 billion of its foreign debt.
"If the markets don't buy that will trigger a response by Germany and France," said the official.
Expelling a country from the euro could push the whole region into a slump because European banks are so exposed to debt in southern Europe.
The consequences for the exiting country would be even more catastrophic.
2/12/2001
Con toa la jeta, hamijos: "Esto destierra cualquier hipótesis de una devaluación". ::
"Las tasas de los créditos sin tope" ...¿Tenéis tope, hamijos pepitos? :rolleye:
4 de Julio de 2010
Germany would lead a group of countries out of the existing Euro into a new single currency.
The old Euro would become the Latin Euro or Southern Euro, whatever name suits them.
The Latin Euro currency after the split would decline sharply against the newly hatched German-centric Euro.
The devaluation would render great economic stimulus to the Southern nations.
Important difficult decisions would have to be made regarding debt writedowns, forgiveness, and restructure.
A perceived driving motive in the plan is to provide Southern nations some security from remaining within a group, so individual distressed nations like Spain or Italy would be spared the stress of being forced to contend with their situations alone.
The bunker mentality will not spare them of continued deep distress.
The consequences for any expelled nation would be catastrophic to bankers holding any sovereign PIGS debt, a problem not mitigated by any bicameral plan.
The only assurance in this chaotic crisis is change coming to the EuroZone, radical change.
In time, my full expectation is for each Southern Europe nation to opt to go it alone, to revert to the old native currency, to devalue it more, and inflate with abandon with spectacular deficits incurred, incite some nationalism, wave flags, and slide badly from prosperity into poverty.
The linchpin is usage of the New Nordic Euro for crude oil sales, a requirement as part of an alliance with OPEC.
The New Nordic Euro will serve as the Dollar Killer
<object width="640" height="505"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/ASZbSyDcS3c&hl=es_ES&fs=1"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allow******access" value="always"></param><embed src="http://www.youtube.com/v/ASZbSyDcS3c&hl=es_ES&fs=1" type="application/x-shockwave-flash" allow******access="always" allowfullscreen="true" width="640" height="505"></embed></object>
Se devalúa para no tener que bajar salarios.Al final, Irlanda cederá. Nadie de los que saben de esto tiene dudas al respecto. Porque, de lo contrario, el país terminaría fuera del euro. Es decir, en un escenario terrible.
Porque, nada más nacer, la nueva moneda nacional caería a pico.
Tras eso -y entre otras cosas-, los salarios tendrían que bajar más o menos lo mismo.
Si no se reconquista la soberanía para devaluar, la auténtica depresión económica será más y más paro, y más y más recortes en los servicios públicos a la población, y más y más contracción del consumo.No pagaría las deudas que ahora le acogotan -llevando a la quiebra a algunos de sus acreedores- pero, a cambio, las puertas del crédito internacional se le cerrarían del todo y posiblemente por mucho tiempo. La consecuencia última sería una profunda depresión económica.
No parece que los políticos irlandeses estén por esa labor. Sin embargo, se resisten a asumir que, como precio por el salvamento europeo, hayan de renunciar a su soberanía en materia de política económica y fiscal. No quieren terminar como tantas repúblicas latinoamericanas en los 80, con técnicos extranjeros -en este caso del Banco Central Europeo y controlados muy de cerca por Berlín- decidiendo su presupuesto, los gastos del Estado, los impuestos y también los salarios.
Y eso es lo que les espera. Angela Merkel lo ha anunciado por activa y por pasiva.
Los alemanes quieren salvar el euro, pero a costa de imponer una férrea disciplina a los países más débiles.
A la postre, pretenden tapar manu militari los huecos del Tratado de Maastricht, o sea, la falta de coordinación de las políticas económicas o la inexistencia de una política fiscal única europea. El euro, dicen, solo sobrevivirá sobre esas bases.
España no es Irlanda ni Grecia, eso está claro. Entre otras cosas, porque es más grande y bastante más compleja. Pero la guía del futuro que se está escribiendo para Dublín y Atenas también va a servir para nosotros. Lo que nos están dando es la oportunidad de seguirla por nuestra cuenta.
<object width="560" height="420"><param name="movie" value="http://www.dailymotion.com/swf/video/xfoc7n?width=560&theme=none&foreground=%23F7FFFD&highlight=%23FFC300&background=%23171D1B&start=&animatedTitle=&iframe=0&additionalInfos=0&autoPlay=0&hideInfos=0"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allow******Access" value="always"></param><embed type="application/x-shockwave-flash" src="http://www.dailymotion.com/swf/video/xfoc7n?width=560&theme=none&foreground=%23F7FFFD&highlight=%23FFC300&background=%23171D1B&start=&animatedTitle=&iframe=0&additionalInfos=0&autoPlay=0&hideInfos=0" width="560" height="420" allowfullscreen="true" allow******access="always"></embed></object><br /><b><a href="http://www.dailymotion.com/video/xfoc7n_choudhry-says-euro-zone-isn-t-sustainable_news">Choudhry Says Euro Zone Isn't Sustainable</a></b><br /><i>Cargado por <a href="http://www.dailymotion.com/Bloomberg">Bloomberg</a>. - <a href="http://www.dailymotion.com/es/channel/news">Vídeos de noticias del mundo entero.</a></i>