Siguiendo la Verdad
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*Tema mítico* : Hilo sobre revueltas en Siria
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Siguiendo la Verdad
Madmaxista
<table dir="ltr" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="100%"><tbody><tr><td><table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="100%"><tbody><tr><td class="arttitle" id="textFontSize1" dir="ltr" valign="top">Crise syrienne : Les Occidentaux s’embourbent de plus en plus</td> </tr> </tbody></table> </td> </tr> <tr> <td class="artbody" dir="ltr">
</td> </tr> <tr> <td class="artbody" id="textFontSize2" dir="ltr">
L’ingérence des Occidentaux connait un nouveau regain en Syrie.
En public, il y a eu simultanément les menaces proférées contre Damas, au cas où il utilise l’armement chimique, et la décision de déployer des Patriot à la frontière turque avec la Syrie. Allemands et Hollandais vont mêmes envoyer leurs hommes avec.
Clandestinement, les Occidentaux ont dépêché davantage de leurs agents de renseignements, surtout au nord de la Syrie, dans le but de dessiner sur place la carte des groupes armés en œuvre. Sur place, trois services de renseignements européens au moins se sont attelés à cette mission, assure le correspondant du journal en France, Mohammad Ballout.
À leur tête les Français. Selon Ballout, depuis l’éclatement de la crise syrienne, la France a étendu sa présence dans la capitale libanaise, (oui libanaise), avec pour prétexte sa volonté de consolider la sécurité de ses troupes exerçant dans la cadre de la Finul. Alors que cette dernière opère au sud-Liban, c’est en revanche vers la Syrie que Paris a orienté ses forces spéciales. Ces derniers temps, celles-ci s’attellent à évaluer les orientations des composantes des milices armées œuvrant au nord de la Syrie, leur promiscuité d’Al-Qaida, et l’influence qu’elles exercent.
En finir avec les djihadistes
Pour Paris, l’enjeu serait selon AsSafir d’ôter le motif qui entrave la levée de l’embargo imposé par l’Union européenne et les Etats-Unis pour armer l’insurrection syrienne.
Jabhat-Nusrat (le front al-Nosrat) est sans aucun doute le plus visé. Il affiche ostensiblement ses tendances pour Al-Qaida, et ses velléités d’instaurer un Etat islamique en Syrie. Washington a déjà laissé entendre qu’elle allait l’inscrire sur sa liste des organisations terroristes.
Mais il n’est pas le seul. Nombreux groupuscules œuvrant en Syrie sont dans son sillage. Il sont les plus efficaces sur le terrain, alors que le chaos sévit au sein de l’Armée syrienne libre (ASL), au niveau de la coordination des opérations de combats, en raison du refus d’un grand nombre d’officiers ayant fait défection de participer aux opérations de combats, vu la présence de civils inexpérimentés dans les rangs des groupes armés. Ce qui explique le chiffre énorme de tués dans leurs rangs, surtout dans la province de Damas (Rif de Damas).
De plus, ces groupuscules djihadistes ont refusé de reconnaitre la Coalition nationale des forces de la révolution et de l’opposition syriennes (CNROS) et ont affiché des visées tout à fait différentes des siennes. Comme ils avaient fait avec le Conseil national syrien (CNS).
Sachant que ce dernier a été remplacé par la coalition, parce qu’il avait échoué dans ses tentatives de prendre l’initiative de leurs mains et d’unifier les différents groupes armés, son successeur ne semble pas avoir plus de chance.
Les Saoudiens: des contacs directs
Un dirigeant du CNROS qui siégeait également au CNS incombe cette lacune aux Etats qui financent et arment directement les milices. Ils ne passent pas par les comités, formés au sein de la coalition (et du CNS avant) pour cette mission. Ce responsable ayant requis l’anonymat accuse en particulier les Qataris et les Saoudiens.
Ces derniers ont formé un comité d’officiers qui contactent directement les combattants, leur distribuent argent et armes, rivalisant avec les Qataris qui contrôlent la Coalition comme le Conseil. Ils ont déjà offert 45 millions de dollars à l’insurrection armée, ainsi que des armements, lesquels ne transitent plus par la Turquie, mais par d’autres pays voisins de la Syrie.
Les Qataris: une influence directe
Quant aux Qataris, un autre dirigeant haut placé de l’opposition syrienne se plaint de leur influence au sein de la coalition où ils ont désigné 50 de ses membres, et contrôlent désormais les cadres de l’opposition syrienne à l’extérieur. Il salue toutefois leur dynamisme et leur capacité à combler les revendications de l’opposition syrienne et ses besoins, beaucoup plus que les Saoudiens.
Cet opposant révèle que la coalition souffre d’une importante crise financière, malgré le soutien qui lui est accordé. « Les sommes que les Européens nous donnent suffisent à peine pour couvrir les frais des réunions effectuées par le CNS puis la coalition à Doha, Istanbul et au Caire », s’est-il moqué.
Et la Russie dans tout cela : une fin d’année tumultueuse
Selon Moscou, les deux mois suivants seront marqués par une escalade militaire, sans aucune perspective politique. Le constat serait du chef de la diplomatie russe Serguei Lavrov, confié à un opposant syrien et rapporté par Assafir.
Les Russes s’attendent à une fin d’année tumultueuse en Syrie, rapporte ce dernier après une visite en Russie et des rencontres avec des responsables russes. De grandes quantités d’armements sont parvenues aux miliciens ces dernières semaines et les effectifs de l’ASL ont gonflé. Plus que jamais, les insurgés misent sur la solution militaire et veulent reprendre l’initiative. La bataille se fera autour de Damas qui risque de subir un siège très dure.
Les Russes considèrent que personne parmi les opposants syriens de l’intérieur ni de l’extérieur, ni parmi les parrains européens et américain ne veut entendre parler de négociations. Celles-ci ne devraient avoir lieu avant le mois de février prochain. Entre temps, ils vont tenter de faire voter au Conseil de sécurité une résolution contraignante sur l’accord de Genève, sans recours au chapitre VII.
L'armée et non le régime
Un opposant syrien rapporte que les Russes sont très attachés à l’armée syrienne et soutiennent ses capacités combatives. Son objectif serait de sauvegarder l’Etat et non de défendre le régime. Pour eux, cette armée est le seul représentant de toutes les tendances et communautés qui forment le peuple syrien. Alors que l’opposition actuelle ne renferme qu’une seule catégorie du peuple syrien. Raison pour laquelle, estiment les Russes, elle a été obligée de désigner des représentants des minorités au CNS puis au CNROS pour combler cette lacune.
Le jeu dangereux de la Turquie et du Qatar
Concernant la Turquie et le Qatar, leur politique est taxée de "dangereuse" par les Russes qui s’attendent à ce qu’ils la paient chère et qualifiant la création d’une zone d’exclusion "d’escalade dangereuse entre la Turquie et la Syrie". « Se trompe celui qui croit être capable de contrôler ses frontières, et d’empêcher les djihadistes de réaliser leurs visées dans la région si le chaos sévit en Syrie, surtout que tous sont impliqués dans le conflit, la Jordanie, la Turquie, le Liban, le Qatar, et l’Arabie saoudite », a confié un responsable russe.
Vu du coté de certains opposant syriens, les Russes seraient soucieux de former à travers leurs rencontres avec des opposants syriens un axe démocratique civil, sinon « la table va être renversé à l’insu de tous et a l’avantage des groupes djihadistes », auraient-ils averti.
Et si Assad résiste
Les opposants syriens qui ont visité Moscou ont entendu des prévisions russes selon lesquelles le président syrien Bachar el-Assad sera capable de rester au pouvoir, jusqu’aux élections prochaines prévues au printemps 2014, s’il parvient à préserver ou à améliorer sa position militaire.
« Nous avons auparavant beaucoup entendu parler du siège du palais présidentiel à Damas. Nous ne défendrons pas Assad, ni ne contribuerons à sa chute. Mais s’il résiste, d’autres régimes risquent de tomber, bien avant lui », aurait signifié Lavrov aux opposants syriens.
</td></tr></tbody></table>
</td> </tr> <tr> <td class="artbody" id="textFontSize2" dir="ltr">
En public, il y a eu simultanément les menaces proférées contre Damas, au cas où il utilise l’armement chimique, et la décision de déployer des Patriot à la frontière turque avec la Syrie. Allemands et Hollandais vont mêmes envoyer leurs hommes avec.
Clandestinement, les Occidentaux ont dépêché davantage de leurs agents de renseignements, surtout au nord de la Syrie, dans le but de dessiner sur place la carte des groupes armés en œuvre. Sur place, trois services de renseignements européens au moins se sont attelés à cette mission, assure le correspondant du journal en France, Mohammad Ballout.
À leur tête les Français. Selon Ballout, depuis l’éclatement de la crise syrienne, la France a étendu sa présence dans la capitale libanaise, (oui libanaise), avec pour prétexte sa volonté de consolider la sécurité de ses troupes exerçant dans la cadre de la Finul. Alors que cette dernière opère au sud-Liban, c’est en revanche vers la Syrie que Paris a orienté ses forces spéciales. Ces derniers temps, celles-ci s’attellent à évaluer les orientations des composantes des milices armées œuvrant au nord de la Syrie, leur promiscuité d’Al-Qaida, et l’influence qu’elles exercent.
En finir avec les djihadistes
Pour Paris, l’enjeu serait selon AsSafir d’ôter le motif qui entrave la levée de l’embargo imposé par l’Union européenne et les Etats-Unis pour armer l’insurrection syrienne.
Jabhat-Nusrat (le front al-Nosrat) est sans aucun doute le plus visé. Il affiche ostensiblement ses tendances pour Al-Qaida, et ses velléités d’instaurer un Etat islamique en Syrie. Washington a déjà laissé entendre qu’elle allait l’inscrire sur sa liste des organisations terroristes.
Mais il n’est pas le seul. Nombreux groupuscules œuvrant en Syrie sont dans son sillage. Il sont les plus efficaces sur le terrain, alors que le chaos sévit au sein de l’Armée syrienne libre (ASL), au niveau de la coordination des opérations de combats, en raison du refus d’un grand nombre d’officiers ayant fait défection de participer aux opérations de combats, vu la présence de civils inexpérimentés dans les rangs des groupes armés. Ce qui explique le chiffre énorme de tués dans leurs rangs, surtout dans la province de Damas (Rif de Damas).
De plus, ces groupuscules djihadistes ont refusé de reconnaitre la Coalition nationale des forces de la révolution et de l’opposition syriennes (CNROS) et ont affiché des visées tout à fait différentes des siennes. Comme ils avaient fait avec le Conseil national syrien (CNS).
Sachant que ce dernier a été remplacé par la coalition, parce qu’il avait échoué dans ses tentatives de prendre l’initiative de leurs mains et d’unifier les différents groupes armés, son successeur ne semble pas avoir plus de chance.
Les Saoudiens: des contacs directs
Un dirigeant du CNROS qui siégeait également au CNS incombe cette lacune aux Etats qui financent et arment directement les milices. Ils ne passent pas par les comités, formés au sein de la coalition (et du CNS avant) pour cette mission. Ce responsable ayant requis l’anonymat accuse en particulier les Qataris et les Saoudiens.
Ces derniers ont formé un comité d’officiers qui contactent directement les combattants, leur distribuent argent et armes, rivalisant avec les Qataris qui contrôlent la Coalition comme le Conseil. Ils ont déjà offert 45 millions de dollars à l’insurrection armée, ainsi que des armements, lesquels ne transitent plus par la Turquie, mais par d’autres pays voisins de la Syrie.
Les Qataris: une influence directe
Quant aux Qataris, un autre dirigeant haut placé de l’opposition syrienne se plaint de leur influence au sein de la coalition où ils ont désigné 50 de ses membres, et contrôlent désormais les cadres de l’opposition syrienne à l’extérieur. Il salue toutefois leur dynamisme et leur capacité à combler les revendications de l’opposition syrienne et ses besoins, beaucoup plus que les Saoudiens.
Cet opposant révèle que la coalition souffre d’une importante crise financière, malgré le soutien qui lui est accordé. « Les sommes que les Européens nous donnent suffisent à peine pour couvrir les frais des réunions effectuées par le CNS puis la coalition à Doha, Istanbul et au Caire », s’est-il moqué.
Et la Russie dans tout cela : une fin d’année tumultueuse
Selon Moscou, les deux mois suivants seront marqués par une escalade militaire, sans aucune perspective politique. Le constat serait du chef de la diplomatie russe Serguei Lavrov, confié à un opposant syrien et rapporté par Assafir.
Les Russes s’attendent à une fin d’année tumultueuse en Syrie, rapporte ce dernier après une visite en Russie et des rencontres avec des responsables russes. De grandes quantités d’armements sont parvenues aux miliciens ces dernières semaines et les effectifs de l’ASL ont gonflé. Plus que jamais, les insurgés misent sur la solution militaire et veulent reprendre l’initiative. La bataille se fera autour de Damas qui risque de subir un siège très dure.
Les Russes considèrent que personne parmi les opposants syriens de l’intérieur ni de l’extérieur, ni parmi les parrains européens et américain ne veut entendre parler de négociations. Celles-ci ne devraient avoir lieu avant le mois de février prochain. Entre temps, ils vont tenter de faire voter au Conseil de sécurité une résolution contraignante sur l’accord de Genève, sans recours au chapitre VII.
L'armée et non le régime
Un opposant syrien rapporte que les Russes sont très attachés à l’armée syrienne et soutiennent ses capacités combatives. Son objectif serait de sauvegarder l’Etat et non de défendre le régime. Pour eux, cette armée est le seul représentant de toutes les tendances et communautés qui forment le peuple syrien. Alors que l’opposition actuelle ne renferme qu’une seule catégorie du peuple syrien. Raison pour laquelle, estiment les Russes, elle a été obligée de désigner des représentants des minorités au CNS puis au CNROS pour combler cette lacune.
Le jeu dangereux de la Turquie et du Qatar
Concernant la Turquie et le Qatar, leur politique est taxée de "dangereuse" par les Russes qui s’attendent à ce qu’ils la paient chère et qualifiant la création d’une zone d’exclusion "d’escalade dangereuse entre la Turquie et la Syrie". « Se trompe celui qui croit être capable de contrôler ses frontières, et d’empêcher les djihadistes de réaliser leurs visées dans la région si le chaos sévit en Syrie, surtout que tous sont impliqués dans le conflit, la Jordanie, la Turquie, le Liban, le Qatar, et l’Arabie saoudite », a confié un responsable russe.
Vu du coté de certains opposant syriens, les Russes seraient soucieux de former à travers leurs rencontres avec des opposants syriens un axe démocratique civil, sinon « la table va être renversé à l’insu de tous et a l’avantage des groupes djihadistes », auraient-ils averti.
Et si Assad résiste
Les opposants syriens qui ont visité Moscou ont entendu des prévisions russes selon lesquelles le président syrien Bachar el-Assad sera capable de rester au pouvoir, jusqu’aux élections prochaines prévues au printemps 2014, s’il parvient à préserver ou à améliorer sa position militaire.
« Nous avons auparavant beaucoup entendu parler du siège du palais présidentiel à Damas. Nous ne défendrons pas Assad, ni ne contribuerons à sa chute. Mais s’il résiste, d’autres régimes risquent de tomber, bien avant lui », aurait signifié Lavrov aux opposants syriens.
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Madmaxista
Damas craint une attaque chimique pour justifier l’intervention
Le vice-ministre des Affaires étrangères Fayçal Meqdad a exprimé ses craintes que « les ennemis de la Syrie ne donnent aux terroristes des armes chimiques et ensuite accusent Damas de leur utilisation » tandis que le Secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, a mis en garde le régime syrien, contre «l'utilisation d'armes chimiques dans le conflit en Syrie, sinon il serait passible de poursuites judiciaires».
Meqdad qui s’exprimait dans une interview à la chaîne satellitaire d’Al-Manar a déclaré que «les allégations des pays occidentaux concernant l’utilisation plausible d'armes chimiques par Damas, sert à préparer une intervention militaire dans le pays malgré les démentis de Damas répétés qu'il n'est pas question de les utiliser ».
Le vice-ministre syrien des Affaires étrangères, a souligné que cela « était une mise en scène », expliquant : « S’il y a des armes chimiques, elle ne seront pas utilisées contre notre peuple (...). Je crains qu’il s’agisse d’un complot occidental, mené de manière grossière à partir de Washington, afin de justifier une intervention militaire. »
«Je répète pour la centième fois que même si de telles armes existaient en Syrie, elles ne seraient pas utilisées contre le peuple syrien», a dit M. Mekdad.
Et d'ajouter: «nous ne pouvons commettre un tel suicide.»
Il a toutefois souspçonné l'Occident d'avoir éventuellement livré des armes chimiques aux insurgés.
Et de poursuivre: "Eventuellement, ces pays ont mis à la disposition des groupes terroristes, actifs à l'intérieur de la Syrie, des armes chimiques pour qu'ils s'en servent et massacrent les syriens", en allusion aux machinations et complots américains et de certains pays européens pour exacerber la crise en Syrie.
"Toute intervention militaire occidentale dans la crise syrienne sera", selon Fayçal, "catastrophique". Même si la Syrie détient des armes chimiques, elle ne s'en servira pas contre son peuple car cet acte serait équivalent à un suicide politique a-t-il réiteré.
De son côté, la Russie a assuré qu'elle ne dispose pas d'informations confirmant que les autorités syriennes se préparent à utiliser des armes chimiques contre l'opposition, a déclaré le représentant permanent de la Russie auprès de l'Otan, Alexandre Grouchko.
"Naturellement, la Fédération de Russie est préoccupée par la situation liée à l'arme chimique. Mais je voudrais souligner une fois de plus: nous ne disposons d'aucune information confirmant l'intention de faire usage d'armes chimiques ", a indiqué le diplomate lors d'un duplex Moscou-Bruxelles organisé.
Selon lui, Moscou surveille de très près la situation. "Dès qu'il y a des informations sur des déplacements d'armes chimiques", la partie russe adresse des demandes ad hoc, a-t-il indiqué.
"Nos interlocuteurs au sein du gouvernement syrien nient sans équivoque l'existence de projets visant à faire usage de l'arme chimique", a souligné le représentant permanent de la Russie auprès de l'Alliance.
Le vice-ministre des Affaires étrangères Fayçal Meqdad a exprimé ses craintes que « les ennemis de la Syrie ne donnent aux terroristes des armes chimiques et ensuite accusent Damas de leur utilisation » tandis que le Secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, a mis en garde le régime syrien, contre «l'utilisation d'armes chimiques dans le conflit en Syrie, sinon il serait passible de poursuites judiciaires».
Meqdad qui s’exprimait dans une interview à la chaîne satellitaire d’Al-Manar a déclaré que «les allégations des pays occidentaux concernant l’utilisation plausible d'armes chimiques par Damas, sert à préparer une intervention militaire dans le pays malgré les démentis de Damas répétés qu'il n'est pas question de les utiliser ».
Le vice-ministre syrien des Affaires étrangères, a souligné que cela « était une mise en scène », expliquant : « S’il y a des armes chimiques, elle ne seront pas utilisées contre notre peuple (...). Je crains qu’il s’agisse d’un complot occidental, mené de manière grossière à partir de Washington, afin de justifier une intervention militaire. »
«Je répète pour la centième fois que même si de telles armes existaient en Syrie, elles ne seraient pas utilisées contre le peuple syrien», a dit M. Mekdad.
Et d'ajouter: «nous ne pouvons commettre un tel suicide.»
Il a toutefois souspçonné l'Occident d'avoir éventuellement livré des armes chimiques aux insurgés.
Et de poursuivre: "Eventuellement, ces pays ont mis à la disposition des groupes terroristes, actifs à l'intérieur de la Syrie, des armes chimiques pour qu'ils s'en servent et massacrent les syriens", en allusion aux machinations et complots américains et de certains pays européens pour exacerber la crise en Syrie.
"Toute intervention militaire occidentale dans la crise syrienne sera", selon Fayçal, "catastrophique". Même si la Syrie détient des armes chimiques, elle ne s'en servira pas contre son peuple car cet acte serait équivalent à un suicide politique a-t-il réiteré.
De son côté, la Russie a assuré qu'elle ne dispose pas d'informations confirmant que les autorités syriennes se préparent à utiliser des armes chimiques contre l'opposition, a déclaré le représentant permanent de la Russie auprès de l'Otan, Alexandre Grouchko.
"Naturellement, la Fédération de Russie est préoccupée par la situation liée à l'arme chimique. Mais je voudrais souligner une fois de plus: nous ne disposons d'aucune information confirmant l'intention de faire usage d'armes chimiques ", a indiqué le diplomate lors d'un duplex Moscou-Bruxelles organisé.
Selon lui, Moscou surveille de très près la situation. "Dès qu'il y a des informations sur des déplacements d'armes chimiques", la partie russe adresse des demandes ad hoc, a-t-il indiqué.
"Nos interlocuteurs au sein du gouvernement syrien nient sans équivoque l'existence de projets visant à faire usage de l'arme chimique", a souligné le représentant permanent de la Russie auprès de l'Alliance.
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Madmaxista
<table dir="ltr" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="100%"><tbody><tr><td><table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="100%"><tbody><tr><td class="arttitle" id="textFontSize1" dir="ltr" valign="top">Patriot en Turquie: implication de l’Otan dans le conflit syrien (Moscou) </td> </tr> </tbody></table> </td> </tr> <tr> <td class="artbody" dir="ltr">
</td> </tr> <tr> <td class="artbody" id="textFontSize2" dir="ltr">
Le déploiement de missiles sol-air Patriot à la frontière turco-syrienne témoigne du début de l'implication de l'Otan dans le conflit syrien, a indiqué vendredi Alexandre Grouchko, délégué permanent russe auprès de l'Alliance.
"Ce déploiement est un premier pas qui montre que l'Otan s'implique finalement dans le conflit, et il n'est pas à exclure que cette implication s'accentue, suite à un incident ou une provocation quelconque", a déclaré le diplomate lors d'un duplex Moscou-Bruxelles organisé par RIA Novosti.
Membre de l'Otan, la Turquie a officiellement demandé à l'Alliance le 21 novembre dernier de lui fournir des missiles sol-air Patriot pour protéger sa frontière de 900 km avec la Syrie.
La décision de déployer des Patriot à la frontière turco-syrienne a été adoptée le 4 décembre par le Conseil des ministres des Affaires étrangères de l'Alliance. Conformément à cette décision, deux batteries de Patriot seront fournies à la Turquie par l'Allemagne, et la troisième par les Pays-Bas.
</td></tr></tbody></table>
</td> </tr> <tr> <td class="artbody" id="textFontSize2" dir="ltr">
"Ce déploiement est un premier pas qui montre que l'Otan s'implique finalement dans le conflit, et il n'est pas à exclure que cette implication s'accentue, suite à un incident ou une provocation quelconque", a déclaré le diplomate lors d'un duplex Moscou-Bruxelles organisé par RIA Novosti.
Membre de l'Otan, la Turquie a officiellement demandé à l'Alliance le 21 novembre dernier de lui fournir des missiles sol-air Patriot pour protéger sa frontière de 900 km avec la Syrie.
La décision de déployer des Patriot à la frontière turco-syrienne a été adoptée le 4 décembre par le Conseil des ministres des Affaires étrangères de l'Alliance. Conformément à cette décision, deux batteries de Patriot seront fournies à la Turquie par l'Allemagne, et la troisième par les Pays-Bas.
</td></tr></tbody></table>
mazuste
Será en Octubre
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Sigo teniendo la impresión de que, a pesar de sus emociones ante tanta alharaca de gallinero, estamos en un impas propagandístico. que no va más allá de enseñar los dientes
Ahora mismo, USA u Obama II, como prefieran, andan modificando la ruta imperial. De tal manera que el marrón se lo meterán a Europa (Francia, UK),e Israel, y que se apañen como puedan. Es más, diría que Obama está mirando hacía el Pacifico (China) y, que anda negociando reconocer a Irán como potencia regional, si las cosas no se tuercen, por supuesto. Al tiempo.
Ahora mismo, USA u Obama II, como prefieran, andan modificando la ruta imperial. De tal manera que el marrón se lo meterán a Europa (Francia, UK),e Israel, y que se apañen como puedan. Es más, diría que Obama está mirando hacía el Pacifico (China) y, que anda negociando reconocer a Irán como potencia regional, si las cosas no se tuercen, por supuesto. Al tiempo.
Bassam Tahhan: Une perspective pour la Paix en Syrie et dans la région
[YOUTUBE]pWMx24-LrkM[/YOUTUBE]
Publicado el 03/12/2012
Bassam Tahhan, porte-parole du Collectif pour la Syrie et professeur de civilisation arabe au Lycée Henri IV, Paris
-------
Panel I
Le grand moyen-orient : Déclencheur d'une IIIe guerre mondiale ou d'une nouvelle ère ?
-------
Conférence internationale de l'Institut Schiller
UN NOUVEAU PARADIGME POUR LA SURVIE DE L'HUMANITÉ
Flörsheim, Allemagne, 24-25 Novembre 2012
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[YOUTUBE]pWMx24-LrkM[/YOUTUBE]
Publicado el 03/12/2012
Bassam Tahhan, porte-parole du Collectif pour la Syrie et professeur de civilisation arabe au Lycée Henri IV, Paris
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Panel I
Le grand moyen-orient : Déclencheur d'une IIIe guerre mondiale ou d'une nouvelle ère ?
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Conférence internationale de l'Institut Schiller
UN NOUVEAU PARADIGME POUR LA SURVIE DE L'HUMANITÉ
Flörsheim, Allemagne, 24-25 Novembre 2012
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Última edición:
yo pienso igual que tu.
los usanos va a meter a unos de los grupos mas importantes de los rebobos en la lista de los terroristas a los al-nusra.
y no creo que los inviten a la reunion de marrakech el dia 12
¿parece que estan queriendo separar los rebobos buenos de los rebobos rebanacuellos?
a turkia les mandan unos patrios (por las molestias) pero eso si, supervisados por alemania, la mas fiable a ojos rusos , y la menos guerrista (al menos en libia).
despues no me estrañaria que desmantelaran arabia saudita y catar
de siempre es sabido que romano paga a los traidores
USUREROS
Madmaxista
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Lo de los misiles Patriot en Turquia esa para hacer caja, es decir esas baterias tienen un coste muy elevado y conforme al tratado de defensa comun = OTAN. El coste de esas baterias de misiles se repercutiran a los estados miembros y estos pagaran integramente su coste con cargo a los contribuyentes.
Los beneficiarios: Raytheon - Wikipedia, la enciclopedia libre
Un articulo muy interesante: Otras cosas de El Drac: Osama Bin Laden: La farsa escenificada
Última edición:
JAGGER
Mossad - NAFO
En Siria la pérdida también es cultural. La violinista Dana Dabbous se une a la Orquesta Filarmónica de Líbano.
harto de todo
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No se que veracidad tendra la fuente, pero en el caso de que se este preparando la enemisa intervencion militar de la OTAN y sus lacayos la cuestion es preguntarse hasta cuando les van a dejar seguir a estos orates seguir con su agresion continua en un pais tras otro, cual sera el equivalente de polonia como lo fue para hitler y se encuentren con una respuesta que les frene en sus planes.
¿o quiza estan esperando eso para detonar una guerra mundial que resetee el sistema?.
Estamos gobernados por una panda de macarras y chiflados violentos que nos llevan al desastre.
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Madmaxista
Alvin Red
El antepenúltimo del floro
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¿Os habéis planteado abrir un nuevo hilo sobre el tema? Ya habéis llegado a donde pueden aparecer problemas de indexación, 5000 mensaje en el hilo.
El que lo abra que postee aquí lo siguiente:
Sigue en Internacional: Hilo sobre revueltas en Siria II y no se olvide de poner en el post que abre ese 2º hilo el enlace al hilo original.
Una vez abierto, cuando pueda yo u otro mod le pondrá chincheta.
Naa más
El que lo abra que postee aquí lo siguiente:
Sigue en Internacional: Hilo sobre revueltas en Siria II y no se olvide de poner en el post que abre ese 2º hilo el enlace al hilo original.
Una vez abierto, cuando pueda yo u otro mod le pondrá chincheta.
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USUREROS
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El sistema antiaéreo Pantsir-S derriba, en una prueba, un misil crucero.
Ria Novosti/Redacción martes, 23 de octubre de 2012
Dos misiles disparados por el sistema de defensa aérea de baja cota Pantsir-S derribaron un misil crucero durante unas pruebas en un polígono de pruebas en el norte de Rusia el 19 de octubre, según el Ministerio de Defensa ruso.
Un misil crucero real fue lanzado desde un bombardero estratégico Tu-95MS Bear contra un edificio a 800 km de distancia.
"El Pantsir-S alcanzó el objetivo con dos misiles y evitó la destrucción del edificio defendido," informó el Ministerio de Defensa en un comunicado.
"El ejercicio de fuego real en el polígono Pemboy ha confirmado las características de gran rendimiento del nuevo sistema de defensa aérea," continuaba el informe.
El sistema anteriormente sólo había sido probado contra objetivos de prácticas que simulaban misiles crucero. Los misiles crucero son un objetivo difícil porque son pequeños y se mueven a gran velocidad, pueden volar a muy baja altura y, con frecuencia, tienen firmas radar e infrarroja bajas.
El Pantsir-S, producido por la empresa rusa KBP, es un sistema mixto de cañones y misiles montados en un vehículo de ruedas con un radar de control de tiro y un sensor electro-óptico, dos cañones de 30 mm y hasta 12 misiles de baja cota 57E6E, guiados por radio, y está diseñado para atacar a una gran variedad de objetivos volando a baja altura.
El Pantsir puede engancharse a objetivos a 20 km con los misiles y a 4,5 km con los cañones, según la empresa KBP.
El Ministerio de Defensa ha adquirido hasta la fecha 100 unidades Pantsir-S para las Fuerzas de Defensa Aeroespacial rusas, que serán entregados en los próximos años.
La versión de exportación del sistema, Pantsir-S1, ha sido vendida a Argelia, Emiratos Árabes Unidos y " Siria."
El sistema antiareo Pantsir-S derriba, en una prueba, un misil crucero
[YOUTUBE]2jtISoEpaxg[/YOUTUBE]
Ria Novosti/Redacción martes, 23 de octubre de 2012
Dos misiles disparados por el sistema de defensa aérea de baja cota Pantsir-S derribaron un misil crucero durante unas pruebas en un polígono de pruebas en el norte de Rusia el 19 de octubre, según el Ministerio de Defensa ruso.
Un misil crucero real fue lanzado desde un bombardero estratégico Tu-95MS Bear contra un edificio a 800 km de distancia.
"El Pantsir-S alcanzó el objetivo con dos misiles y evitó la destrucción del edificio defendido," informó el Ministerio de Defensa en un comunicado.
"El ejercicio de fuego real en el polígono Pemboy ha confirmado las características de gran rendimiento del nuevo sistema de defensa aérea," continuaba el informe.
El sistema anteriormente sólo había sido probado contra objetivos de prácticas que simulaban misiles crucero. Los misiles crucero son un objetivo difícil porque son pequeños y se mueven a gran velocidad, pueden volar a muy baja altura y, con frecuencia, tienen firmas radar e infrarroja bajas.
El Pantsir-S, producido por la empresa rusa KBP, es un sistema mixto de cañones y misiles montados en un vehículo de ruedas con un radar de control de tiro y un sensor electro-óptico, dos cañones de 30 mm y hasta 12 misiles de baja cota 57E6E, guiados por radio, y está diseñado para atacar a una gran variedad de objetivos volando a baja altura.
El Pantsir puede engancharse a objetivos a 20 km con los misiles y a 4,5 km con los cañones, según la empresa KBP.
El Ministerio de Defensa ha adquirido hasta la fecha 100 unidades Pantsir-S para las Fuerzas de Defensa Aeroespacial rusas, que serán entregados en los próximos años.
La versión de exportación del sistema, Pantsir-S1, ha sido vendida a Argelia, Emiratos Árabes Unidos y " Siria."
El sistema antiareo Pantsir-S derriba, en una prueba, un misil crucero
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aumentando la tension con rusia tambien aumentan la caja no?
cuanto mas aumente la tension en la zona mas cacharritos conpraran los sudis y los quataris y ... todos los que andan por alli.
¿Os habéis planteado abrir un nuevo hilo sobre el tema? Ya habéis llegado a donde pueden aparecer problemas de indexación, 5000 mensaje en el hilo.
El que lo abra que postee aquí lo siguiente:
Sigue en Internacional: Hilo sobre revueltas en Siria II y no se olvide de poner en el post que abre ese 2º hilo el enlace al hilo original.
Una vez abierto, cuando pueda yo u otro mod le pondrá chincheta.
Naa más
ya hay uno abierto por hay en el fonfo del baul de los recuerdos, pero no hubo manera de que se le pusiera chincheta
aqui te dejo el enlace http://www.burbuja.info/inmobiliaria/temas-calientes/336917-hilo-revueltas-siria-ii.html
de na
